31 décembre 2010
Marcel Vervloesem, le fondateur de l’asbl Werkgroep Morkhoven qui a exposé le fichier pédopornographique Zandvoort, vient d’être condamné à une écoute permanente ses communications téléphoniques, une surveillance de son ordinateur, de ses communications par Internet, ainsi que son courrier postal.
Marcel Vervloesem, le fondateur de l’asbl Werkgroep Morkhoven qui a exposé le fichier pédopornographique Zandvoort, vient d’être condamné à une écoute permanente ses communications téléphoniques, une surveillance de son ordinateur, de ses communications par Internet, ainsi que son courrier postal.
Marcel Vervloesem a été remis en liberté le 4 août 2010, suite à une condamnation pour des faits qu’il a été reconnu physiquement incapables d’exécuter. La liberté a été accordée à Marcel Vervloesem sous les conditions suivantes :
- Le renouvellement d’une interdiction de contacter la presse qui lui a été imposée en 2006 pour une période de trois ans.
- L’interdiction de toute activité de soutien à des associations ou organisations qui luttent contre l’abus d’enfants.
- L’interdiction de contacter les membres de l’asbl Werkgroep Morkhoven qui sont ses amis depuis vingt ans, et qui lui ont rendu visite chaque semaine durant les deux ans qu’il était détenu en prison.
- L’interdiction de contacter l’acteur Flamand Jo Reymen, qui soutient Marcel mais ne fait pas partie du Werkgroep Morkhoven.
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