« Si un individu s’expose avec sincérité, tout le monde, plus ou moins, se trouve mis en jeu. Impossible de faire la lumière sur sa vie sans éclairer, ici ou là, celles des autres »
Simone de Beauvoir – La force de l’âge
« L’information est le seul bien qu’on puisse donner à quelqu’un sans s'en déposséder. »
Thomas Jefferson,
l’un des rédacteurs de la Déclaration d'Indépendance des États-Unis,

De l'esprit des lois (1748)

Les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires.
Charles de Secondat, baron de Montesquieu

7 avril 2011

Dimensions psycho-criminologiques de la « désistance » par le Pr. Loick-M Villerbu

Loick M. Villerbu[1], Anne Winter[2], Christelle Laurent[3]
Introduction
Le terme « désistance », en France, est largement inusité. Il n’est sans doute pas anodin que son émergence coïncide avec les travaux sur la délinquance juvénile aux Etats-Unis (1934). Sa référence est manifestement plus connue des familiers des études anglophones.
Cependant, bien plus qu’une absence de réflexions et de propositions sur ce qu’il implique, il faut y voir un effet de culture criminologique et des disciplines afférentes à ce corps de doctrine. Dit autrement, ce que le terme implique et que nous allons discuter, est l’effet manifeste à la fois de conceptions de monde différentes et de politiques pénales/pénologiques volontaristes instruisant, dans d’autres dimensions, les acteurs du changement social et psychique.
Chaque mot est un monde, écrivait M. Merleau-Ponty : chaque langue entraîne avec elle une conception de l’existence et des rapports intersubjectifs.
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